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NOTES

 

(1)               « Nerudova účast v evropském revolučním hnutí », dans Svědectví, No 73, année XX (1984), pp. 206-226. Il s’agit de la reprise partielle d’une étude plus ancienne : Jan Neruda a české demokratické hnutí v letech šedesátých, CSAV, Prague, 1963, 106p.

(2)               Le Svatobor, société de bienfaisance fondée en 1862 au profit des écrivains tchèques, fut présidé successivement par František Palacký et František Ladislav Rieger, jusqu’à leur mort. Il jouait un rôle de soutien financier – fournissant des bourses d’études ou de voyage, de mutuelle – en cas de maladie ou de décès – et il décernait même des prix.

(3)               Frič habitant rue de l’Ouest, Neruda n’avait que le jardin du Luxembourg à traverser pour le retrouver.

(4)               Il subsiste quelques flottements sur les dates exactes de ce séjour. Miroslav Novotný parle du 13 mai au 12 juin (Život Jana Nerudy, t. IV, Prague, Československý Spisovatel, 1956), Marie Scherrer situe son départ de Prague fin Avril (Quelques sources des tableaux parisiens de Neruda, dans Revue des Etudes Slaves, t. XVI (1936), fasc. 3-4, pp. 236-242). Neruda a très vraisemblablement quitté Paris pour la Belgique le 12 ou le 13.

(5)               Cf. Rok Jana Nerudy v datech, obrazech, zápisech a poznámkách, éd. Míroslav Novotný, Melantrich, Prague, 1952, p. 116.

(6)               Cf. Život Jana Nerudy..., pp. 94-140.

(7)               Cf. dans Rodinná Kronika du 25 juin 1964.

(8)               Cf. Věra Bubeníčková, J.V. Frič a jeho vztahy k Jaroslavu Cermákovi a Soběslavu Pinkasovi, dans J.V. Frič a demokatické proudz v české politice a kultuře, Prague, CSAV, 1956, pp. 377-402.

(9)               Josef V. Frič, dans Národní Listy du 19 Octobre 1890 (cité par Ivan Pfaff, art. Cit.).

(10)           Marie Scherrer, art.cit.

(11)           Cf. Albert Pražák à propos de Constantinople et de Rome, (cité par Marie Scherrer).

(12)           J’ai utilisé pour la traduction suivante la deuxième édition des oeuvres complètes de Neruda publiées en 1894 : ces feuilletons de voyage ont été regroupé dans le volume VI sous le titre Menší cesty : il comprend, outre les Tableaux Parisiens (pp. 3-96), les descriptions consacrées à l’Allemagne (pp. 97-168).

(13)           Par exemple : K celkové stylistické charakteristice textu, dans Ceskoslovenské přednašky pro VIII mezinárodní sjezd slavistů v Záhřebu, Prague, Akademia, 1978.

(14)           Cf. la fin du sixième paragraphe „Du haut de Notre-Dame“.

(15)           Dans Národní Listy du 2 avril 1867 (cité par Novotný : op. cit., pp. 125-126).

(16)           Il s’agissait en fait de la pose de trois calorifères.

(17)           Le 12 juin à 2 heures, une salve de 21 coups de canon fut tirée en l’honneur de la victoire de Puebla. 

(18)           « Coin des corneilles », lieu créé par Kotzebue, au XVIIe siècle, dans une de ses pièces, pour désigner un village de personnages stupides. En tchèque : Kocourkov, en français : Abdère, Landerneau, Clochemerle…

(19)           En fait, les sergents de ville portaient alors un bicorne.

(20)           La première de ces institutions fut fondée à Prague en 1845 comme centre de la vie nationale tchèque. La danse qui porte le même nom fut créée par Linek en 1863 sur la base de danses populaires, à la suggestion de Neruda.

(21)           Manteau noir de cérémonie à brandebourgs porté depuis 1848 pour manifester son patriotisme. L’origine en est polonaise.

(22)           Journal littéraire et satirique fondé par J. R. Vilímek en 1858 et auquel collabora Neruda.

(23)           „Ici, on parle tchèque“.

(24)           Ferdinand Hulek (1817-1889), personnage clef de la colonie tchèque de Paris à l’époque. Neruda a dressé son portrait (Humoristické Listy du 19 Avril 1889).

(25)           Le dépouillement du Petit Journal pour la période du séjour de Neruda à Paris ne m’a pas permis d’identifier cette correspondance.

(26)           Boucher, en slovaque.

(27)           Jean-Baptiste Gaspard Deburau (1796-1846) devint le plus célèbre des mimes de son époque grâce aux biographies de Jules Janin, Champfleury, Péricaud, Rémy... Son fils, né en 1829, décéda en 1873.

(28)           Jindřich-Jaroslav Clam-Martinic (1827-1886), homme politique et leader de la noblesse historique.

(29)           Maria Markovyč (1834-1907) joua un rôle considérable dans l’évolution du roman ukrainien. Travaillant à l’émancipation de serfs, elle passa une période importante de sa vie à l’étranger.

(30)           Božena Němcová (1820-1862) fut l’un des fondateurs de la prose moderne tchèque et fut profondément inspirée par la culture populaire.

(31)           Jusqu’en 1867, le nom de Chodzko revint constamment dans la correspondance de Neruda avec Frič.

(32)           Potage au gruau, soupe froide, borchtch et boulettes de viande.

(33)           En fait, il est mort en 1839 après avoir été arrêté en Polésie par les Russes, et emprisonné à Wilno.

(34)           Orsini avait perpétré un attentat contre Napoléon III en janvier 1858 et avait été exécuté en mars 1859. Son action, destinée à accélérer l’indépendance italienne, avait fait 95 morts.

(35)           Neruda était alors en polémique avec certains critiques tchèques et postulait à un poste de direction au Prozatímní Divadlo.

(36)           « Schewa », qui signifie en hébreu « absence de voyelle », est aussi le héros d’une pièce anglaise de 1799, The Jew, de Richard Cumberland, dont Börne rendit compte en 1819 (cf. Sämtliche Schriften, Düsseldorf, 1964, t. I, pp. 256-288). Et Börne écrit à son propos : Wie sollte Schewa das Geld nicht lieben, da keiner an ihm liebt als das, da keiner in ihm liebt, was er ist, sondern nur was er hat. Ludwig Börne, pour qui Jan Neruda nourrissait une grande admiration, était né Loeb Baruch, à Francfort, en 1786. Il décéda à Paris en 1837. [Renseignements communiqués par M. Serge Schlaifer, de l’université de Toulouse-Le Mirail.]

(37)           Guillaume-Louis Bocquillon-Wilhem (1781-1842) a notamment mis en musique des textes de Béranger.

(38)           Jacques-Antoine Manuel (1775-1827), orateur politique de talent, s’était fermement opposé, le 25 février 1823, à la Chambre, à la politique française en Espagne définie par Chateaubriand. D’incident en incident, le 3 mars, il est exclu manu militari après avoir déclaré : „J’ai annoncé que je ne céderai qu’à la violence, je persiste dans cette résolution“ ; Béranger célébra dans ses textes le courage et la combativité de Manuel.

(39)           Le Baedecker donne Félix de Beaujour comme ancien consul, décédé en 1836.

(40)           Extrait de l’élégie de Lucie (1835).

(41)           Le Baedecker précise (édition de 1883) : Les portiers veillent à ce que personne n’emporte quelque chose des cimetières sans un laisser-passer, cette consigne s’étend même à de simples fleurs.

(42)           L’expression a été créée par Neruda qui voulait tourner en ridicule ceux qui refusaient toute influence étrangère sur la littérature tchèque renaissante, „oubliant que sans celle-ci rien ne peut naître“. (Cf. „Nyní“ dans Obrazy života, 1859, p. 71-73).

(43)            Vers célèbre de l’Énéide de Virgile, IV, 625 (imprécations de Didon mourante).

 

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